MBWS : Un peu de positif

L'ASAMIS n'a pas d'infos privilégiées mais a entendu certaines rumeurs positives.

D'abord une validation d'infos obtenue par MBWS :
Andrew Highcock va bien venir le 29 octobre. Il décidera certaines options stratégiques (comme nous l'avons déjà communiqué) pour la réorganisation financière. Ce ne sont pas des nouvelles mais c'est réconfortant que ces points soient confirmés.

L'ASAMIS ne va pas donner suite à sa demande de référé auprès du Prêt du tribunal de commerce afin d'obtenir une AG et la publication des comptes 2017 puisque la société a eu un report au 31 janvier 2019 (annonce officielle de la société et confirmée par le greffe du tribunal de commerce).

Ensuite diverses rumeurs :

  1. les cessions de marques faiblement contributives au Chiffre d'affaires et déjà annoncées globalement seraient en cours pour 30 M€ minimum.
  2. les résultats 2017 seraient prêts à sortir et probablement publiés avant l'arrivée d'Andrew. Nous nous attendons à ce qu'ils soient en ligne avec les précédentes annonces d'EBITDA déjà faites.
  3. le prêt de 7.5 M€ consenti par la COFEPP ne comporterait pas de clause de remboursement possible en actions.
  4. la Pologne irait mieux au niveau EBITDA grâce à des réductions de coût importantes.
  5. Schroeder qui a franchi à la hausse et à la baisse plusieurs fois le seuil de 5% ne se désengagerait pas vraiment. Ce seraient des petits fonds et des particuliers qui auraient allégé ou cédé totalement leurs portefeuilles MBWS.

Ce que L'ASAMIS compte demander à Andrew :

  1. l'opportunité de poursuivre le lancement de Lancut et l'option possible sur le rapatriement potentiel des installations pour les regrouper à Starograd.
  2. un effort supplémentaire de réduction des coûts notamment au niveau du siège.
  3. la mise en œuvre de sanctions à l'endroit des dirigeants passés et présents et particulièrement la suppression des rémunérations variables ainsi que des primes et la réduction des jetons de présence.

Au final L'ASAMIS est confiante dans un redressement du cours en fin d'année 2018.
Certes le résultat 2017 (et très probablement 2018 en dépit de la rentrée exceptionnelle de 12 M€ sur la créance recouvrée sur Tobago) sera négatif mais les pertes :

  • seront compensées en tout ou partie par les cessions
  • seront reportables et allégeront l'impôt sur les sociétés des années bénéficiaires à venir...

car la société doit pouvoir retrouver sa rentabilité avec une gestion avisée et honnête.

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